Eh oui Virginie ce prénom choisit par maman me plaît beaucoup .En écoutant la chanson je suis toujours émue...Puis j'ai découvert la belle hstoire de Paul et Viginie qui avait enchantée ma p'tite mère .J'aime à la relire...Voilà le pourquoi de Gigi et en rencontrant la GIGI de Colette je me suis sentiepousser des ailes .Pensez donc me voici parrainer par deux grands de la littérature :Bernardin de Saint Pierre et madame Colette...plus la jolie chanson de Jean-Jacque Debout ,je suis vraiment chanceuse ,vous ne croyez pas?
Ce bateau qui part aujourd'hui Pour les anciennes colonies Doit faire une escale au pays Où naquirent Paul et Virginie J'aimerais partir à son bord AVEC TOI changer de décor Voir si la mer se fâche encore Retrouver ses rivages d'or Reprendre les anciens chemins Qui montent vers les tamarins REVIVRE CE ROMAN D'AMOUR Quand Paul attendait son retour.
(Refrain) Pour un jour, une nuit Redeviens VIRGINIE Laisse-là ta vie Pour vivre l'amour le plus sage Pour un jour, pour la vie Redeviens VIRGINIE PARTONS TOUS LES DEUX POUR VIVRE L'AMOUR LE PLUS MERVEILLEUX
On connaît la fin du roman Tout l'amour de ces deux enfants Qui avaient grandi tous les deux Loin des villes et des ambitieux ALORS TOI QUE J'AI TANT AIMEE A force de se déchirer Ne crois-tu pas qu'il serait temps De se retrouver comme avant J'ESPERE QUE TU VAS REVENIR Qu'un jour prochain on va partir Tout là-bas vers ce paradis Où s'aimèrent Paul et Virginie
Je m'appelle love... Je suis née le jour de l'amour... J'ai l'âge de tes baisers... J'habite au fond de ton cœur... Mon numéro de téléphone est tendresse... Mon adresse postale est caresse... Et ma ville c'est t'aimer !!!
Mon amie Nicole dite "Elocin" m' a offert un livre délicieux plein de vie
"Ensemble c'est tout"
de Anna Gavalda...
Quelques mots sur celui ci :
" Ce livre ne raconte rien d'autre qu'une histoire d'amour. Une histoire d'amour entre quatre éclopés de la vie. Camille, Franck, Philibert et Paulette. Des bons à rien, des cabossés, des cœurs purs. Quatre allumettes placées ensemble au-dessus d'une flamme. Et, pfiou… Tout s'embrase. " Anna Gavalda
Fiche :
Auteur Anna Gavalda Editeur Le Dilettante Nombre de pages 608 pages Format 14 cm x 21 cm ISBN 2842630858
Résumé :
" …Non, ne pleure pas… Tiens, prends mon mouchoir, petite fille… Mais il y a une chose que je dois te dire : les gens qui s'arrêtent de parler deviennent fous. Chu Ta, par exemple, je ne te l'ai pas dit tout à l'heure, mais il est devenu fou et très malheureux aussi… Très, très malheureux et très, très fou. Il n'a retrouvé la paix que lorsqu'il était un vieillard. Tu ne vas pas attendre d'être une vieillarde, toi, n'est-ce pas ? Dis-moi que non. Tu es très douée, tu sais ? Tu es la plus douée de tous les élèves que j'aie jamais eus, mais ce n'est pas une raison, Camille... Ce n'est pas une raison… Le monde d'aujourd'hui n'est plus comme celui de Chu Ta et tu dois te remettre à parler. Tu es obligée, tu comprends ? Sinon, ils vont t'enfermer avec de vrais fous et personne ne verra jamais tous tes beaux dessins… "
Camille fait des ménages dans les bureaux le soir et dessine à ses heures. Féru d'histoire, Philibert est un aristocrate timide et émotif qui habite un immense appartement. Franck cuisinier de son état a une grand-mère qui ne peut plus vivre seule et qu'il doit se résoudre à placer dans une maison de retraite. Voici les quatre personnages principaux de l'histoire. Un peu éclopés, pas en très bon état, ils traînent des passés difficiles et des blessures ouvertes. Ils ont des rêves aussi. Des envies d'échappées belles. Ils vont se rencontrer, s'apprendre... et découvrir qu'ensemble, le bonheur est possible. Qu'il tient à peu de choses... qu'il tient surtout à... "être ensemble". Régine
Extrait :
Il tendit son verre sans conviction : non, il ne dormirait pas demain. Demain il irait au Temps retrouvé, la SPA des vieux, manger des chocolats dégueulasses avec deux ou trois mémés abandonnées qui joueraient avec leurs dentiers pendant que la sienne regarderait par la fenêtre en soupirant.
Maintenant, il avait mal au bide dès le péage…
Il préférait ne pas y penser et vida son verre d’une traite.
Il regardait Camille en douce. Ses taches de rousseurs apparaissaient ou disparaissaient selon les heures, c’était très étrange comme phénomène…
Elle lui avait dit qu’il était beau et maintenant elle était en train de bader ce grand dadais, pff… toutes les mêmes.
Franck Lestafier n’avait pas le moral.
Euh… Je commence par où ?
Un boulot de merde, une vie de merde, une mémé à l’ouest et un déménagement en perspective. Redormir sur un clic-clac pourri, perdre une heure à chaque pause. Ne plus jamais voir Philibert. Ne plus jamais le titiller pour lui apprendre à se défendre, à répondre, à s’énerver, à s’imposer enfin. Ne plus l’appeler mon gros minet en sucre. Ne plus penser à lui mettre une bonne gamelle de côté. Ne plus épater les filles avec son lit de roi de France et sa salle de bains de princesse. Ne plus les entendre, lui et Camille parler de la guerre de 14 comme s’ils l’avaient vécue, ou de Louis XI comme s’il venait de boire un godet avec eux. Ne plus la guetter, ne plus lever le nez en ouvrant la porte pour savoir, à l’odeur de sa cigarette, si elle était déjà là. Ne plus se précipiter sur son carnet dès qu’elle avait le dos tourné pour voir les dessins du jour. Ne plus se coucher et avoir la tour Eiffel illuminée pour veilleuse. Et puis rester en France, continuer de perdre un kilo par service et de le reprendre en bières juste après. Continuer d’obéir. Toujours. Tout le temps. Il avait fait que ça : obéir. Et maintenant, il était coincé jusqu’à… Vas-y, dis-le jusqu’à quand, dis-le ! Eh ben, ouais, c’est ça… Jusqu’à ce qu’elle claque… Comme si sa vie ne pouvait s’arranger qu’à la seule condition de le faire souffrir encore.
Putain, mais c’est bon là ! Vous pouvez pas vous exciter sur un autre que moi, maintenant ? C’est vrai, quoi, j’ai eu ma dose… (Pages 269-271)
[...]
C’est une hypothèse. L’histoire n’ira pas assez loin pour le confirmer. Et puis nos certitudes ne tiennent jamais debout. Un jour on voudrait mourir et le lendemain on réalise qu’il suffisait de descendre quelques marches pour trouver le commutateur et y voir un peu plus clair… Pourtant ces quatre-là s’apprêtaient à vivre ce qui allait rester, peut-être, comme les plus beaux jours de leurs vies.
A partir de ce moment précis où ils sont en train de lui montrer sa nouvelle maison en guettant, mi-émus, mi-inquiets, ses réactions et ses commentaires (elle n’en fera pas) et jusqu’au prochain badaboum du destin –ce plaisantin– un vent tiède soufflera sur leurs visages fatigués.
Une caresse, une trêve, un baume.
Sentimental Healing comme dirait l’autre…
Dans la famille Bras Cassés, nous avions désormais la grand-mère et même si la tribu n’était pas complète, elle ne le serait jamais, ils n’avaient pas l’intention de se laisser abattre.
Aux sept familles, ils étaient dans les choux ? Eh bien parlons poker ! Là, ils étaient servis et l’on appelait cela un carré. Bon, un carré d’as, peut-être pas… Trop de bosses, de bafouillages et de coutures dans tous les sens pour y prétendre mais… Hé ! Un carré !
Ce n’étaient pas de très bons joueurs, hélas…
Même concentrés. Même déterminés à garder la main pour une fois, comment demander à un chouan désarmé, à une fée fragile, à un garçon taillé dans l’échine et à une vieille dame couverte de bleus de savoir bluffer ?
Impossible.
Bah… tant pis… Une petite mise et des gains ridicules valaient toujours mieux que de se coucher. (Pages 405-406)
Critique/Presse :
Rien de notable du côté de l'écriture, ni de l'intrigue, dont on devine rapidement l'essentiel. D'où vient alors que l'on se laisse prendre, qu'on évite l'ennui? De l'idée rassurante que le bonheur est possible à condition de l'accepter. «Dit comme ça, c'est un peu cucul évidemment, mais bon, c'était la vérité [...] pour la première fois et tous autant qu'ils étaient, ils eurent l'impression d'avoir une vraie famille. Mieux qu'une vraie d'ailleurs, une choisie, une voulue, une pour laquelle ils s'étaient battus et qui ne leur demandait rien d'autre en échange que d'être heureux ensemble. Même pas heureux d'ailleurs [...] d'être ensemble, c'est tout». L'express Livres
En plus d'être jeune et populaire, Anna Gavalda a quelque chose d'osé. D'abord, malgré le succès et les appels de la concurrence, elle reste fidèle à son premier éditeur, Le Dilettante. Ensuite, quand l'heure est à la concision, elle balance un pavé de 600 pages. Enfin, elle se roule en parfaite lucidité dans le bon sentiment. Il fallait oser ! Le petit journal
Un roman admirable, qui fait aimer la vie. Et tous les humains, nos frères. Magazine Lire
Avec Ensemble, c'est tout, Anna Gavalda plonge le lecteur dans un long moment heureux. 608 pages à lire comme on fait un beau voyage. L'Alsace Presse
Petite remarque perso : Le livre est gros, et joli avec sa couverture de pastels bien rangés. Dès qu'on l'aperçoit dans une librairie, on ne peut que le prendre et le feuilleter un peu. Et puis, on se dit, tout le monde en dit du bien, presque "trop" de bien, cela semble presque bizarre ! Le jour arrive forcément où... on y plonge le nez, les yeux, le coeur ! Et voilà, il suffit de le commencer pour ne plus avoir envie de le quitter. Les quatre personnages qui s'apprivoisent, on voudrait les connaître pour de vrai, faire partie de cette vie qu'ils se construisent doucement "ensemble". C'est "joli", c'est tendre, c'est du bon sentiment qui fait du bien, c'est un petit bout de rêve quoi. Un cadeau de Noël, un cadeau d'amitié... un cadeau tout court. Pourquoi pour être "bien", un bouquin serait forcément grâve ou triste ? Celui-ci c'est du sourire, du sourire tout simple, du bonheur ?
Un film en a été inspiré
Bande annonce du nouveau Claude Berri avec Audrey Tautou et Guillaume Canet
Lorsque nous recevons chez nous Un compagnon ou une compagne de la Gente Féline !
Ils arrivent avec toute leur Magie ne l'oublions pas ce sont des Mages Des Enseigeurs et des Maîtres remplis de Sagesse ! Sous leurs airs de dédain quand ils nous honorent de leurs caresses Ce sont des sages !
Ils viennent d'Ispahan Charmeurs , élégants Gardiens sacrés des Trésors Egyptiens Maîtres enseignant dans les Temples d'Or de Lhassa au coeur du Tibet ! Ils traversent les vibrants Espaces Pour nous retrouver Chats de Province ou de Gouttières Chats "squatters" ou de Races Ce sont toujours des Princes ! Et quand Ils passent le Seuil de l'Ailleurs Soyez sûrs qu'à pas de velours Ils viennent en Veilleurs Car Ils n'oublient pas l'Amour !
L'ESPERANCE est au rendez-vous dans les Pages du SOLEIL DE MA VIE ..Souvenirs d'enfance , Pages de ma vie ... les jours heureux ,la part du bonheur , l'Absence de l'Aimé ,des hauts et des bas , ,des Nouvelles,les Chansons , Musiques,Videos perso