Il Neige
depuis quelques instants sur mon village d' Aunis de la joie pour les enfants petits et grands
Pour ceux et celles qui sont où celles qui prennent où sont sur les routes c'est bien moins agréable...donc
Prudence pour tous...
Que l'Ange de la Neige veille sur vous !
"Pour de rire..."
LE RIRE....
est le propre de l'Homme dit on..
de la Femme .. .des Enfants...
enfin de l'Humanité !
Tu veux des rires....en voici en voilà:
"Rire aux larmes...Rire à perdre haleine...
Rire jaune...Rire à gorge déployée..
Rire aux éclats...Rire à s'en tenir les côtes...
Rire aux anges... Rire sous cape...
Rire bêtement...Rire comme un bossu...
Pleurer de rire...Mourir de rire...
Se tordre de rire...Avoir le rire aux lèvres...
Rire pour rien...Rire pour vivre!
ET...... rire comme une baleine?
Tout ça c'est pour de rire...tu l'sais bien
Mais avoue que l'on se marre bien !
Asphodèle
et j'en oublies c'est certain....
"Quand on est deux..."
On ne cherche pas le bonheur
on le cueille tout simplement
au hasard de la route.
Alors juste pour aujourd'hui
laisse un petit bonheur
faire de ta journée une fête.
Cueille ces 2 minutes de bonheur que je t'offre
pour une journée harmonieuse et pleine de douceur de vivre
Lumière des Flocons
Chacun d'eux porte l'Amour ,la Joie ,l'Espérance,l'Amitié ,la Paix...
Le Fournil...suite et fin
.Tranquillement mon boulanger de grand-père , nettoie le pétrin , l'apprenti empile les panetons...le temps passe dans la tiédeur du fournil .Je capte du coin de l'œil son sourire complice l‘habituel « viens petite c‘est l‘heure» m'interpelle , je le rejoins d'un bond .Toujours émerveillée je vois sortir du four les gros pains gonflés , craquants , brûlants la « grignes » plus brunies .En riant il me lance un de ces derniers que j'attrape au vol (j'ai l'habitude) avec une couche pour ne pas être brûlée , d'un coup de brosse" vlan et vlan" j'époussette sa Majesté le Pain , ça sent bon , c'est chaud , rassurant....comme on est bien !
Grand-père choisit le plus beau à son avis , le hume les yeux mi-clos , le couche à l'envers sur son bras gauche , le caresse ,tapote la coûte en connaisseur... y trace la croix de son pouce droit dans un geste de bénédiction...quelque chose se passe arrêtant le rire sur mes lèvres...un bref instant , la tête penchée il regarde ce pain qu'il a pétrit , alors lentement il retourne ce dernier et le dépose entre mes bras tendus en me disant « vas petite. ».
Je traverse la chambre des apprentis qui sépare le fournil de la cuisine où grand'mère m'attends ; me voyant entrer elle tire un torchon marqué de nos initiales du vieux bahut ciré , prend le pain pour l'en envelopper et le range dans le tiroir à pain .
Chaque jour de mon enfance , de mon adolescence , de ma vie de jeune fille le même rituel s'est répété .
A chaque repas j'ai vu le pain enveloppé de blanc « trôner » en haut bout de la table familiale...
« Grand'mère du pain s'il te plaît »
« Valentine du pain s'il te plaît » dit grand-père..
« Maman du pain s'il te plaît » au tour de mon père..
« Patronne du pain s'il vous plaint » disent l'apprenti ou l'ouvrier...
A chaque demande elle répond par un sourire un « oui bien sûr »..inlassablement elle « démaillote la miche rousse et blonde pour y tailler les tranches odorantes avec le grand couteau à manche d'argent exclusivement réservé à cet usage..(je le garde encore.)
J'ai appris le respect du pain , de la nourriture et des autres pare ces gestes simples , ces mots quotidien qui chantaient comme une litanie...Chez mes grands-parents maternels le rituel est le même à la différence que Philibert est paysan , sème le blé...J'ai retrouvé auprès de lui la même gravité lorsqu'il égrène un épis aux creux de ses mains calleuses pour y faire rouler les grains dorés avec un regard semblable à celui d'Alphonse le boulanger !
Ces gestes je les ai gardés....le couteau au manche d'argent ne sert plus....le pain se fait « baguette , flûte ou de fantaisie » alors que « dans ce chez nous » d'avant la « miche » était « pain de cinq livres »...Ainsi va le temps et c'est bien....
Que notre joie demeure
Tu portes la Joie...Auteur: Yves Boulvin -
Un enfant ? Dieu nous aime et son Coeur de Père saigne de chacune de nos souffrances, de nos blessures qu’Il embrasse tendrement. Il nous accompagne partout, à tout moment. En réalisant cela, nous découvrirons Dieu au fond de nos souffrances car, dans la partie la plus pure de nousmêmes, ce que nous ressentons est peu de chose par rapport à ce qu’Il ressent à notre sujet.
Quand une mère, devant son enfant malade, dit : Que fait le Bon Dieu ? elle le rencontrerait bien davantage si elle comprenait que sa souffrance de mère est, en petit, l’icône de celle, infinie, de Dieu par rapport à nos blessures. Mais Dieu en lui-même est joie, joie parfaite, joie totale.
à suivre ....si tu le souhaites