TENDRESSE EN FORÊT...que du bonheur
Tendresse from Attention à la Terre on Vimeo.
"Quand il est mort le Poète..."
chantait Bécaud
Homme d'Harmonie et de Paix
Nous te retrouverons un jour...
Découvrez la playlist JEAN FERRAT avec Jean Ferra
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Ferrat
Ferrat - Aimer à perdre la raison
envoyé par Lunethique. - Regardez d'autres vidéos de musique. center;">
Un enfant ? Dieu nous aime et son Coeur de Père saigne de chacune de nos souffrances, de nos blessures qu’Il embrasse tendrement. Il nous accompagne partout, à tout moment. En réalisant cela, nous découvrirons Dieu au fond de nos souffrances car, dans la partie la plus pure de nousmêmes, ce que nous ressentons est peu de chose par rapport à ce qu’Il ressent à notre sujet.
Quand une mère, devant son enfant malade, dit : Que fait le Bon Dieu ? elle le rencontrerait bien davantage si elle comprenait que sa souffrance de mère est, en petit, l’icône de celle, infinie, de Dieu par rapport à nos blessures. Mais Dieu en lui-même est joie, joie parfaite, joie totale.
à suivre ....si tu le souhaites
Il était une fois un petit garçon qui voulait rencontrer Dieu. Comme il savait que ce serait un long voyage pour se rendre à Sa maison, il remplit sa valise de bonbons et de six bouteilles de limonade, et il se mit en route.
Trois pâtés de maisons plus loin, il vit une vieille dame. Assise dans le parc, elle fixait quelques pigeons. Le garçon s'assit près d'elle et ouvrir sa valise. Il s'apprêtait à prendre une limonade lorsqu'il remarqua l'air affamé de la vieille dame. Il lui offrit donc un bonbon. Elle accepta avec reconnaissance et lui sourit. Son sourire était si joli que le garçon voulut le voir encore. Il lui offrit donc une limonade. Elle lui sourit de nouveau. Le garçon était ravi !
Ils restèrent ainsi tout l'après-midi à manger et à sourire, sans dire un seul mot.
Lorsque le soir tomba, le garçon se rendit compte qu'il était très fatigué et se leva pour partir. Cependant, au bout de quelques pas à peine, il se retourna, courut vers la vieille dame et la serra dans ses bras. Elle lui fit alors son plus beau sourire.
Peu de temps après, lorsque le garçon franchit la porte de sa maison, son regard joyeux étonna sa mère.
Elle lui demanda : «Qu'as-tu fait aujourd'hui qui te rend si heureux ?»
Il répondit : «J'ai déjeuné avec Dieu». Mais avant que sa mère puisse répondre, il ajouta : «Tu sais, elle a le plus merveilleux des sourires !»
Entretemps, la vieille dame, rayonnante de joie elle aussi, retourna chez elle.
Frappé de l'expression paisible qu'elle arborait, son fils lui demanda : «Mère, qu'as-tu fait aujourd'hui qui te rende si heureuse ?»
Elle répondit : «Au parc, j'ai mangé des bonbons avec Dieu». Mais avant que son fils puisse répondre, elle ajouta : «Tu sais, il est beaucoup plus jeune que je ne le croyais».
Julie A. Manhan
Bouillon de poulet pour l'âme
Anne souffrait de maladie. Le médecin lui a conseillé de partir en maison de repos, proche de chez elle à Amailloux près de Parthenay (79). Anne, 18 ans n'avait pas très envie de se retrouver avec des personnes âgées... Mais bon elle s'y est rendue.
Elle venait de s'installer dans sa chambre et une jeune soeur vint la visiter. Anne était super contente "Oh une jeune soeur, ça fait du bien !, mais pourquoi n'êtes-vous pas habillée comme les autres ?" La soeur est restée, lui a parlé de son séjour, lui a posé des questions sur sa santé. Elle a discuté tout un temps avec elle. Puis elle est partie. À l'heure du repas, une autre soeur est venue lui apporter son repas. Anne lui a demandé pourquoi la soeur qui était venue la voir ne venait plus. - Mais il n'y a pas de jeune soeur ici ! - Oh oui, dit Anne... partant alors dans le couloir, elle lui montre une photo : mais oui, regardez, la voilà !
C'était une image de la Petite Thérèse...
ll est vrai que nous avons besoin de ces instants où tout nous dit :
"Apaises toi...laisse passer un peu de temps..souffle un en peu'!
Alors m'est revenu en mémoire cette bribe d'un poème de Fr.Bernard :
"Dans l'oratoire de mon coeur
Je Te retouve...
Au fil des jours
Ne plus rien avoir à soi
Que le long apprentissage
D'un abandon...."
je te le donnes en cadeau profites en à plein coeur !
Le paradis n'est pas un espace et ce n'est pas
non plus une durée dans le temps. Le paradis c'est
simplement d'être soi-même parfait.
Ce que nous recherchons, c'est le fruit défendu.
Sans lui, le Paradis n'est pas pour nous...
Ce qui s'en va à notre mort est le meilleur de nous-même :
les débris de notre innocence, les bienfaits de nos larmes
et de nos rires, les caresses que nous avons su offrir,
l'amour qui a pu échapper aux griffes de notre égoïsme.
La faculté de rêverie est une faculté divine
et mystérieuse ; car c'est par le rêve que l'homme
communique avec le monde ténébreux dont il est environné.
Il vaut mieux s'unir pour obtenir le bonheur
sur la terre que de se disputer sur l'existence
d'un paradis dans le ciel.
Faire le bien, éviter le mal, c'est ça le paradis.
Mieux vaut aimer dans les enfers que d'être
sans amour dans le paradis.
Bonne cuisine et bon vin, et beaucoup d'amour,
c'est le paradis sur terre...
Le paradis terrestre est partout quand nous le voulons
QUAND NOUS VERRONS avec Mannick
J'aime cette voix de femme qui me va si bien ....elle m'aide à remonter..tout comme les poèmes , des pages feuilletées de mes bouquins fanés , mais bons compagnons fidèles lors de ces "à bout d'souffle" où parler m'est difficile....Alors j'écoute...retrouve et....patiente autant que faire se peu lorsque la douleur s'apaise...
JMerci ma DameDouce pour tes mots si doux à mon coeur...je suis heureuse de notre amitiécoeur..
Je t'embrasse tendrement...prends soin de toi Amie
JeanneCoeuramie
Une pause , pas autre chose ..Le temps de souffler un peu ;le temps rien q'un instant me reposer ..... quelques jours peut être . Faire le "point" être à l'écoute .....Pour moi et pour vous la magie d'ALBERT SAMAIN..Chut silence****
"LE CHARIOT D'OR"
"Poème " lentement, doucement " :
Lentement, doucement, de peur qu' elle se brise,
Prendre une âme ; écouter ses plus secrets aveux,
En silence, comme on caresse des cheveux ;
Atteindre à la douceur fluide de la brise ;
Dans l' ombre, un soir d' orage, où la chair s' électrise,
Promener des doigts d' or sur le clavier nerveux ;
Baisser l' éclat des voix ; calmer l' ardeur des feux ;
Exalter la couleur rose à la couleur grise ;
Essayer des accords de mots mystérieux
Doux comme le baiser de la paupière aux yeux ;
Faire ondoyer des chairs d'or pâle dans les brumes ;
Et, dans l'âme que gonfle un immense soupir
Laisser, en s'en allant, comme le souvenir
D'un grand cygne de neige aux longues, longues plumes.