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Au Soleil de ma Vie... Clair du Soir
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20 novembre 2009

Le Rêve....

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Je viens de retrouver un des cahiers
sur lequel j’ai noté mes Rêves !
J’en ai bien d’autres mais celui-ci est tombé
d’une pile de livres sans que je ne le cherche !
Comme si il me faisait signe afin que je parle
des Rêves dont il est le Gardien !
Rêves du matin
alors que l’on émerge
à peine du sommeil de la nuit !
Rêves des après midi d’été
des siestes légères
ou on se balance entre veille
et sommeil
dans cet état d'apesanteur
où le corps se repose
tandis qu’un autre « état de conscience »
s’installe en douceur .
On en « sort » parfois
le cœur battant la chamade ,
la bouche sèche ,
l’oreille bruissante de sons inconnus !
La parole nous échappe ,
on ne trouve pas les mots pour expliquer
ces sensations étranges
qui nous dérangent ,
nous échappent avant de replonger
dans le quotidien.
Nous savons que « Quelque chose »
nous a effleuré ,
touché ou bouleversé
Bien vite on essaie de l’oublier
d’un haussement d’épaule en se disant :
"Bah ! ce n’est qu’un rêve »
et pourtant!
Si on voulait bien si attarder un peu ,
rien qu’un peu ,
tant de choses nous seraient données
tout simplement en acceptant l’invite
de soulever le Voile
du Précieux Messager !

Jeanne Chanteplume
extrait de mon recueil
"Le temps Ecoute"
( printemps2000)




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11 novembre 2009

Les Danseurs de l'Aube...1

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Un soir sur la 5 je suis "tombée" sur INTERMEDE dont le thème était la Danse .Je n'oublieriais jamais ces instants de Beauté pure .Fond sonore , Danseurs m'ont bouleversée dans un décor dépouillé ouùl'incarnat côtoyait le bleu dur ! Maladroitement j'ai traduit mon ressenti!
Voici:


Les Danseurs de l’Aube



Ses pieds nus effleurent le sol de porphyre rouge ;
des rires et des voix d’enfants s’envolent dans l’air du soir .
Sur les rochers bleus Zélia s’assied ,
croise les bras qu’elle tend sur ses jambes ,
s’étire , ses mains volètent comme des papillons ,
la tête penchée elle ressemble à un oiseau qui écoute .
Lasse elle s’allonge sur le sol ,
la jupe courte révèle ses longues jambes ,
d’un geste plein de grâce
elle relève ses bras en corbeille autour de sa tête.
Livrée ainsi à la nuit
elle ressemble à un lys endormi !
Les voix, les rires et les chansons
des enfants s’atténuent puis s’éteignent ,
pas un bruit pas un son ne se font entendre.
Tout est silence !


Sur l’horizon lointain le rideau de la nuit s’estompe.
A « fleur d’eau »
dans le frissonnement de l’eau toute proche ,
une silhouette dont les pas oscillent
entre la marche et la danse
surgit entre le ciel et la mer !
Une musique étrange monte des flots berceurs
s’insinuannt, caressante
dans le sommeil de la Belle endormie .
Le Danseur s’arrête à quelques foulées de celle-ci
avec des gestes lents il se penche sur Zélia.
A-t-elle sentie l’impalpable Présence ?

Voici qu’elle bouge ramenant ses jambes sous elle ,
cabre sa taille fine en un arc parfait ,
puis s’étire dans un envol élégant de ses bras
en renversant la tête en arrière .
.D’un souple mouvement de reins elle s’assied ,
se frotte les yeux comme une enfant
et surprise regarde le Danseur ;
celui-ci les bras tendus l’invite à le rejoindre.
Elle se lève doucement et en deux bonds
comme une biche fuit légère l’Invitation !

à suivre....

8 novembre 2009

Le Danseur Divin

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De Christiane Singer ces quelques mots concernant le Bonheur :"Je ne crois pas que le bonheur soit "quelque chose".Je crois qu'il n'est rien qu'on puisse appréhender et je soupçonne que ,s'il n'est rien, c'est peutêtre parce qu'il occupe tout l'espace."..Le jeune poisson de la légende hindoue demande "Où est la mer?" Tout le monde en parle et je ne l'ai jamais vu" nous offrela clé de la révélation.....(N'oublie pas les chevaux écumants du passé)

Le Danseur Divin

Dieu danse sa création, dit la mystique hindou.

Il est le danseur. S'il s'arrêtait de danser, il n'y aurait plus de danse.

La danse de Dieu, c'est la rivière et l'océan, l'arbre et la feuille, l'oiseau et sa chanson.

Il suffit de les regarder ; de les écouter ; de les sentir.

Alors ils éveillent dans le cœur quelque chose qui est bien au-delà de la connaissance : une présence.

Quand derrière la danse vous rencontrez le Danseur lui-même. Et alors en vos cœurs éclatera ma joie.

« Dis-moi, frère aîné, où est la mer ? » demandait le petit poison au vieux saumon qui traçait son chemin vers les hautes eaux.

« Mais, petit poisson, tu es en train de nager dedans ! »

« Oh non ! C'est seulement de l'eau salée ! Moi, je cherche la mer ! »

Et il repartit désappointé

« Dis-moi, Maître, où est Dieu ? » demandait le disciple à son guru.

« Viens avec moi demain matin sur la montagne »

Ils partirent tôt avant l'aurore. Arrivés au sommet, le soleil se levait et baignait leurs visages. L'oiseau chantait et les fleurs exhalaient leur parfum matinal.

« As-tu vu l'astre du jour ? As-tu entendu l'oiseau ? As-tu senti la fleur ?

« Oh oui, Maître ! »

« Alors tu sais où est Dieu. »

Mystique hindoue

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2 novembre 2009

Halloween avec un peu de retrard

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.
LA PEUR de JEAN PERROT

Fait pas chaud c’soir mon gars, dit le patron boulanger à son p'tit mitron de Jean Perrot, fils d'Alphonse du même nom. Tu passes par le Bois du Loup pour rentrer chez toi petiot ?
Ben oui patron, comme d'habitude.

La conversation s'arrête là. Jean termine le rangement du fournil, dénoue son tablier blanc de farine et laisse ses espadrilles également poudrées pour enfiler ses gros brodequins. Puis il jette sa pèlerine noire sur ses épaules, enroule le cache-nez gris tricoté par sa mère, se coiffe de sa casquette à oreillettes, dit « b'soir patron » et sort du fournil pour s'engager dans la petite rue Des Grues éclairée par le quinquet jaune accroché juste au-dessus de la boulangerie ...La nuit est tombée depuis belle lurette en ce soir de trente et un octobre mille neuf cent vingt. En tournant le coin de la rue, la nuit le happe – il n’y a plus de quinquet ! Habitué, Jean ne s'en formalise pas et marche d'un bon pas sur le chemin bordé de palisses en chantonnant une rengaine à la mode. Une fois le champ communal traversé, il arrive aux abords du Bois du Loup. Matin et soir il le traverse sans appréhension, malgré les histoires sinistres que les uns et les autres racontent sur le lieu. Arrivé à la fourche des Quatre Chênes, il prend le chemin de droite comme toujours, mais une drôle d’idée se glisse tout à coup insidieusement à son esprit. Et s’il s'était trompé, s’il n’avait pas pris le bon chemin ?

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– Mais non, j'me suis pas trompé ! soliloque-t-il à voix haute, mais en s’arrêtant quand même.
La nuit épaisse a l’air d’attendre et Jean frissonne. Une sourde crainte commence tranquillement à l'envahir. Bientôt, le hululement d'une chouette en chasse le fait sursauter et une branche craque, là, tout près, semble t-il. Il hâte le pas tout en se retournant. Quelqu’un ou quelque chose le… suit ! Du coup, les sombres histoires qu'il a entendues lui reviennent en mémoire.
– C'est des « menteries » ! se dit-il dans un chuchotement qui en appelait d’autres.Jean n’est pas un froussard. Allons, il a quatorze ans ! Il est costaud et son esprit est bien trop clair pour se laisser emporter par les contes des vieux auxquels il ne croit d’ailleurs pas. Mais le vent siffle fort dans les arbres et les lamentations qui se répercutent en écho ne le rassurent pas, vraiment pas ! Pas plus que le martèlement des pas sur le tapis automnal ou le souffle accéléré d’un animal en course qui se rapproche dangereusement. Au bord de la panique, Jean s'accroupit, ferme les yeux et pose instinctivement les mains sur la tête.

                                          Il était temps !

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Un frôlement d’ailes immenses laisse tout à coup traîner une odeur délicate et inconnue autour de lui. Comme il tremble notre gars, si sûr de lui ! Il n'a qu'une envie, celle d’arriver à la maison. Mais il ne sait plus où il en est et ce chemin ne semble pas vouloir finir tandis qu’il court parmi les herbes et que les ronces l’agrippent au passage. Les sanglots et les déchirantes lamentations se mêlent aux Vloum ! Vloum ! derrière lui. Il a chaud et pourtant, il tremble de froid et de peur.

Jean finit par se cacher derrière le tronc d'un vieil ormeau. La curiosité est plus forte que sa peur. L’odeur suave, le froissement qui rappelle la nappe de soie étendue dans le vent et les pas, légers comme le « pianoti » de la pluie sur le feuillage des arbres, le surprennent. Stupéfait, il se fige devant la silhouette d’un homme enveloppé par les brumes et dont le visage, qu’il capte furtivement, a des yeux de saphirs remplis de larmes. En claquant des dents, l'enfant se serre encore plus contre le tronc. La créature l’a-t-elle entendue ? 

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Alors qu'elle semblait partir, elle s’arrête brusquement. Jean est terrorisé.

– Ô non ! appelle-t-il du plus profond de son être en réclamant la protection de anges, de Dieu, de tous les saints du paradis et surtout, celle de la Madone !

Dans un élan, la créature prend soudain son envol.

Il ne sait combien de temps il attend. Épuisé, il s’endort. Le chant lointain d'un coq le réveille. Dans le glissement argenté de l'aube sur la cime des arbres, il s’éveille. L’air est frais, le premier matin de novembre est là. Trempé de sueur, les cheveux emmêlés et toujours acagnardé contre le tronc de l'ormeau, c'est ainsi que son père et les voisins, qui l'ont cherché toute la nuit, le trouvent !

Réconforté, réchauffé, Jean est sauvé !

Ben mon p'tiot sais tu pas qu' la nuit de Samain est propice aux 
rencontres bizarres ? T' savais ben ça tout d' même ?  Fallait pas l’ prendre, le Bois du Loup, j' l'avais ben dit… lui chuchote Clélie, sa grand-mère.

Oui il le savait, mais il a passé outre.

Après les émotions, les braves gens ont pensé que le gamin d'Alphonse en avait rajouté. Puis le temps a suivi son chemin et l'oubli est venu. Mais lui  n'a pas oublié, même si il n'en parle pas. Parfois, en traversant le Bois du Loup pour rejoindre le fournil, il se surprend à se demander comment il réagirait maintenant qu'il est devenu un jeune gars de vingt ans…

PAYSAGE1

Puis un jour d'automne, en élaguant le Bois du Loup, le cantonnier du coin trouve les restes de ce qui semble être un homme enroulé dans de grandes ailes de soie cendrée. Près du visage aux yeux clos, deux saphirs et des perles de cristal scintillent. Jean se rend sur place. En scrutant la créature aux traits angéliques, il en vient à se demander si elle n’avait pas plutôt été son… sauveur !
Saphirs et perles ont été ensevelis avec les restes dans la conche de l'Eau qui Chante, pas très loin de la source du même nom. L'année suivante, au mois de Mai, des surgeons d'Aubépine ont poussés, on ne sait pas comment !   

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La légende ne dit-elle pas que l'Aubépine

est le Bois de MAI de L'AUTRE MONDE

              Le mystère n'a jamais était éclairci et reste entier.

Jean Perrot était mon père

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31 octobre 2009

Tu peux dire....

/ Tu peux dire à la source d'arrêter de couler, tu peux dire aux oiseaux d'arrêter de chanter, mais tu ne peux pas dire à mon coeur d'arrêter de t'aimer.

Dans tes bras, j'ai tellement rêvé, non jamais je ne t'oublierai, dans mon coeur ton nom est gravé et ce, pour l'éternité.


Si ma main était une plume et mon coeur un encrier, je prendrais deux gouttes de mon sang pour t'écrire: "JE T'AIME".


Quand les eaux cesseront de couler, quand le feu cessera de brûler et quand Dieu cessera d'exister, je cesserai enfin de t'aimer.


Si un grain de sable signifiait l'amour, je t'offrirais des plages entières.


Si la mer était de l'encre et le ciel du papier, je n'aurais pas assez de place pour t'écrire combien je t'aime.


J'aime deux choses: toi et la rose. 

La rose pour un jour, toi pour toujours.

"Amandin le Troubadour"

http://www.blogg.org/blog-37571.html

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25 octobre 2009

Rêverie.... d'Azuroise

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Rêverie au bois de la belle Dame de nos pensées..

.Nostalgie de l'été?

Non simplement envie d'être belle dans les couleurs châtoyante de l'arrière- saison....

Eté Indien....de la Saint Martin..

saison des vendanges ,de l'éclatement des bogues piquantes des châtaignes et des marrons...d'Inde..

Echêvelements multicolores des dalhia aux jardins...la brume du matin ,les soirs bleus de lune il y a de quoi rêver et de..Vivre

signature_1COEURAIMANTgif!

creation Chanteplume

11 octobre 2009

Un Drôle d'Oiseau...3

LE SECRET DE MARGOT

la_PieDoucettement nous arrivons maman et moi à faire bon ménage avec Margot la coquine !Celle-ci a vite compris que son chantage si je puis m’exprimer ainsi ne prenait ,malgré ses simagrées nous l’ignorons superbement ainsi que papa vite lassé par ses exigences « amoureuses » !Résignée peut être pas ,mais belle joueuse notre oiselle change d’attitude ,devient plus indépendante ,va se percher dans la treille de la terrasse pour y piquer un somme puis,se promène à pas comptés avant de faire une toilette soigneuse en étalant ses ailes bleu nuit ,lissant son jabot et son ventre de neige ..C’est vrai qu’elle est belle , gracieuse j’irais jusqu’à dire élégante même .A ses moments là elle prends un air penché ,nous regarde d’un air indifférent un rien narquois…j’en ressens une impression bizarre que je ne peux expliquer….Cet après midi là allongée sur le transat entre veille et sommeil , j’entends une voie flûtée susurrer prés de moi :

danse002

« Sais tu que nous les Margots sommes Cousines des Fées marraines,Fileuses,Porteuses de fuseaux de pierre et de surcroît Danseuses par vocation ? Nous dansons à petits pas saccadés et pourtant fluides , à pas scandés , menus, aussi réguliers que des points de broderie. ..Un pas en avant ,un pas en arrière ,un pas pointé sur la droite ,, un pas levé sur la gauche nous dansons en nous tenant les mains ensemble tournant une ronde telle la roue d’un rouet lunaire dévidant le fil d’une gavotte vive et gracieuse….à petits pas , à petits points...ainsi va notre ronde..

signature_margotgif.

à suivre

7 octobre 2009

Et si c'était vrai ?

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Liza au jardin, rêve de fées, de lutins...et si c'était vrai que l'on puisse  les voir ? Peut être en fermant les yeux et comptant sur ses doigts...c'est possible sans doute !-"Essais pour voir" murmure le papillon en frémissant des ailes...

papillons015

"Essais tu risques rien" roucoule la tourterelle en haut du sapin...."Pourquoi pas essais" dit le Tamaris habillé de rose..."Essais...oui essais" bourdonne l'abeille les pattes pleines de pollen...

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"Moi si j'étais toi j'essaierais" chantonne le libellule en frôlant de ses ailes irisées l'eau de l'abreuvoir aux oiseaux...."Qu'est ce t'attends" jacasse Margot la  Pie en habit de soirée....."Vas y voir...essais" chante la Huppe en secouant sa couronne de plumes...."Bon c'est pas bientôt fini....t'essais ou t'essais pas mais décide toi petite" ronchonne Pataud en reprenant son somme interrompu par ces bavardages...

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"Essais un peu" tintinnabulent les campanules en défroissant leurs corolles élègantes...."Bon j'vais essayer." leur répond Liza!Un..deux..trois.."Ecoute..écoutes moi." susurre la brise parfumée, écoute bien ces mots:  La Magie...si tu entends bien tu comprendras L'Âme Agit.. c'est au fond de toi prés de ton coeur...Un ...deux..trois...soleil"

Un sourire aux lèvres Liza s'est endormie

pour le Pays bleu de son Etre avec un soupir d'aise....

Kahlan124803263496_gros

.Chut...ne la réveillons pas!

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3 octobre 2009

A Cloche-pieds

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Dans les vignes
Adèle et Nana
Jouent à l'Oiseau-Chat.
Bien à l'aise sous les feuilles
Elles grapillent les graines blonde
Au goût sucré!
Les abeilles dansent la ronde
sur le bleu des centaurées.
blogchezzaza121458608272_gros

Les enfants accueillent
en riant leur copain-chat
qui s'en façon égratigne
en jouant la peau tendre de leurs bras.
catgris

A l'orée du bois là bas
passent les ramures
d'un cerf dans le soleil
époustouflant l'herbe tendre
de ses sabot durs.
A la cantonnade les petites
s'interpellent dans le soir bleu
où traînent les raies
du soleil couchant!

Kahlan124803259147_gros

2 octobre 2009

Au Jardin notre Refuge

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.
Notre Château
c'était la Cabane
rustique ô combien !
Nous y faisions les rêves les plus fous!
Dés le printemps ,nous nous y installions .
Nous nous y abritions
à la première averse ,
écoutant avec délice la pluie pianoter
sur son toit de tôles
et le goutte à gouttes des clapotis
dans les flaques !
Au coeur de l'été nous y faisions la sieste .
Abritée sous un énorme figuier
elle bénéficiait d'une certaine fraîcheur
.ouverte sur le levant
l'aprés midi elle était à l'ombre!

A l'Automne..nous y goûtions les figues ,
les raisins de la treille en buvant
du cidre doux coupé d'eau.
Mordant à belle dents
dans les tartines coupées
à même la miche de pain
nous nous régalions de cette provende,
de parfums et de chansons.
Alors que les hirondelles se rassemblaient
pour leur premier conciliabule
avant de s'envoler pour les pays lointains !
Beaux souvenirs !

Nous gardons au fond du coeur
et de notre mémoire
Une Cabane de bois au toit de tôle ,
abritée sous un figuier
au milieu du Jardin!

Chanteplume et sa complice Asphodèle
(Extrait des "Billets en Vrac" de nous même.....)

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Fred Pellerin l'Enchanteu Québecquois
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