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Au Soleil de ma Vie... Clair du Soir
Derniers commentaires
31 août 2009

Le Jardin des Champs...3

Quand il revient à la maison sur le coup de midi , les enfants accourent vers lui en criant : « Papa , papa » !« Ouha ! Ouha » ! aboient les chiens qui les accompagnent en gambadant .Il entre dans la grande cuisine où elle a préparé le repas mis le couvert« Ouf » dit il en s’essuyant le front d’un revers de main , avant de la prendre dans ses bras, pas de paroles.

Ils se comprennent !

Tout au long du repas il parle de son travail , des trains qu’il prépare , des rencontres « Tiens j’ai vu Untel il te donne le bonjour » du jardin ; puis lui demande comment Elle a passé la matinée , et les enfants ça va ?

Elle sait , devine quand ça ne va pas.

  Ils se connaissent par cœur , du fond de l’âme !

Quand Il prend son travail de cheminot le matin(4 /12) il rejoint son havre en fin d’après midi , et y reste tard dans la soirée souvent jusqu'à l’heure où le crépuscule de ses voiles mauve et or enveloppe la terre.

Les grillons chantent , c’est l’éclatement des chants d’oiseaux qui s’égosillent en mélopées en trilles et cascades plus où moins nuancées .C’est l’heure où Elle le rejoint assez souvent.

Il a prit soin la veille de « tirer » l’eau du puits afin qu’elle « chauffe » au soleil pour ne pas saisir les plantes par la froideur de cette dernière remontée des entrailles de la terre . Il arrose à pas comptés ; la pomme de l’arrosoir en chuintement de soie ruisselante accompagne chacun de ses gestes ,ni trop ,ni trop peu ! Elle le regarde assise sur le banc de bois , puis rassemble la provende qu’il a cueilli , ramassé avec soin ; c’est lui qui l’installe dans la remorque faite de ses mains Il range les outils ferme la porte du cabanon tout comme la barrière du jardin !

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30 août 2009

« L'Eau à la Bouche»...1

   

Un Conte gourmand à ma façon...

Une fois l’An, la ville de Bonbecs est en effervescence pour l’ouverture de La Semaine des Quatre Jeudis et des Trois Dimanches  .

Cette semaine là , Craquelin Panetier et Gélinotte  Grandveneur vont à l’Ecole des Mots Gourmands ,  par Tradition…. c’est un peu bizarre vous semble t’il.

Ils en sont ravis et friands . Que de découvertes , de rencontres ne font ils pas à cette occasion là!

Quels drôles de prénoms  me dites vous ? Laissez moi vous en dire le pourquoi. Il y a quelques années Hubert Grandveneur était chasseur et fort gourmand de gibier à plumes ; son épouse Dame Julienne descendante  du  gastronome  Brillat-Savarin en était très contrariée et se lamentait :

-« Ah ! Hubert quand donc cesserez vous vos chasses meurtrières ? »

-«  Ma mie je vous promets de ne plus chasser  si une fille nous est donnée avant la prochaine ouverture » tout en espérant bien que l’enfant attendu serait un garçon ….le traître !

Dame Julienne prie de toute son âme pour que le ciel exauce son vœux le plus cher….mettre au monde une fille ! Trois gars lui suffisent amplement  chacun doté par leur père de prénoms peu orthodoxes :  Perdriaux l’ainé , Bécassin le second et Courlis pour le puîné …encore heureux  qu’il ne l’est pas baptisé Râle comme celui qui coure dans les genêts !

   Elle l’espère cette petiote tout en  lui cherchant  un prénom qu’elle ne trouve pas….Par une nuit de brume arrive sans tambour ni trompette la petite fille tant désirée ; dodue comme une caille ,  rousse comme l’écureuil

La jeune maman se demande comment nommer la mignonne … c’est alors qu’elle se rappelle combien elle fut charmée à la vue d’un  bel oiseau au long plumage luxuriant lors de son séjour  l’an dernier dans leur chalet de montagne ; voyons quel est son nom ? Un nom qui sonne comme des notes….Gélinotte …Gélinotte « voila le nom qui te convient ma jolie » murmure t’elle en câlinant sa fille ; Hubert ravi de ce choix raccroche son attirail de chasseur , son fils aîné…..Itou ! (aussi)

à suivre...

28 août 2009

Le Jardin des Champs...2

Nouvelle playlisJARDIN avec Laurent Dury

                     

Dés le Printemps et ce jusqu’à la fin de l’Automne quand il termine la série de nuits(21 /4heures) , au petit matin il ne rentre pas chez lui mais va à son Jardin des Champs pour profiter de la « fraîche ».

Ce Jardin c’est un peu sa « retraite  son havre de paix , sa thébaïde » ; situé au milieu des champs ( d’où son nom)limité au nord par la voie de chemin de fer , il est entouré de haies vives faites de ronciers , d’aubépines , d’épines noires parmi lesquelles pousse un figuier . Il reçoit les quatre points cardinaux , une barrière haute le ferme au sud.

On y accède par un chemin de champs , où par une route blanche . Dans ce jardin il a construit un cabanon avec les moyens du bords pour y ranger ses outils de jardinage .

Mais bien vite une banquette y trouve sa place

C’est là qu’il fait « un roupillon » le matin en débauchant ou la sieste les après midi lourdsde chaleur .Un puits à la margelle de pierres prés duquel des bidons montent la garde attendant l’eau qu’il y verse le soir pour le lendemain , afin d’arroser les carrés , les planches de légumes qui entourent ce dernier .

Une treille aux raisins savoureux apporte son ombrage camaïeux de vert et d’or où s’infiltrent les rayons curieux du soleil .La porte du cabanon est en bois , il a accroché un vieux rideau dans l’embrasure de celle-ci pour le protéger des regards indiscrets !

      Il aime ce lieu loin de la maisonnée ; il y trouve le calme  parmi les chants des oiseaux , il s’y ressource dans le petit matin , il profite de « l’aiguail » la rosée de la nuit , qui au levé du jour s’évapore en nappe dansante dans les premiers rayons du soleil .

Peut être retrouve t’il ici ces étranges remontées d'enfance qui veillent en nous.

Il laboure , ratisse , sème , plante , repique , arrose

De temps en temps un train passe  il salue le conducteur qu’il connaît

puisque lui aussi travaille chez "Madame" SNCF

à suivre...

27 août 2009

Le Jardin des Champs...1 Prologue

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à suivre

LE JARDIN des CHAMPS

Pastel de Jeanne

JEAN et  MOI

« Que ma Joie demeure… »

Jean Giono

« Je vivrai par de là la mort ,

Je chanterai à vos oreilles .

Même après avoir été emporté

Par la grande vague de la mer

Jusqu ‘au plus profond de l’océan !

Je m’assiérai à votre table

Bien que mon corps paraisse absent…

Je vous accompagnerai dans vos champs…

Esprit invisible !

Je m’installerai avec vous devant l’âtre ,

Hôte invisible aussi !

La mort ne change que les masques

Qui recouvrent nos visages

Le forestier restera…. forestier

Le laboureur ….laboureur…

Et celui qui a lancé sa chanson au vent

La chantera aux sphères mouvantes ! »

Le Jardin du Prophète

Khalil Gibran

26 août 2009

Entre nous..

BONJOUR avec Helene Martin

Voici une page pour 

vos p'tits mots , babillardes,billets ,messages

concernant les Albums

où autre si vous le désirez..

déposez les sur les commentaires

je vous répondrais avec plaisir

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26 août 2009

Belles Enchantées

FLUTE avec Luc Urbain

dames_reflets

Les Belles Enchantées

dans l'onde claire se sont mirées....

En attente du bel Aimé

Elles chantent en attendant

ce  Prince aimant...

Laquelle choisira t'il ?

fee_09

"Image animée de Chanteplume/Baladine

Dans une contrée lointaine
Vivait une chatelaine.
Patiemment elle attendait
Son Chevalier .
Chaque nuit elle en rêvait
Et le jour en secret
Soignait un rosier .
Celui ci portait
une seule Rose
mais quelle Rose
pour son Chevalier .
Je la lui donnerais
pensait elle !
Un beau jour vint Réal
le Chevalier parfait.
Fougueux
" Je vous cherche Belle
depuis si longtemps
Je vous aime
de tout mon coeur amoureux."
Se penchant sur lui
Isoline la Belle
la Rose lui offrit .
"C'est à vous mon Beau
qu'elle revient
Acceptez d'être mon tendre Chevalier
Je serais votre Fée
au Clos d'Amour.
Depuis c'est un Régal
Au clos d'Amour
de Réal et Isoline
la câline!

Chanteplume

Caresser le ventre de la Terre

d'une main douce et légère .

Avec les hirondelles broder

des arabesques

Sur le ciel serein de l'été

Ecouter la chanson du vent

avec sérénité

Celle de l'océan...

Et rester là

Sans rien faire

Se contenter d'être....

Jeanne(extrait de mes "Mots en vrac)

L'HEURE EXQUISE

25 août 2009

Invitation

OCEAN avec Ylric Illians

Mon plat pays de côte océane

à la lumière sans pareil

où l'horizon se marie avec la mer ...

fleuri de Roses Trémière

est un paradis pour les peintres.

.c'est l'Aunis et ses îles :

Oléron , Ré la Blanche ,

île Madame et ses mimosas..

Mélusine est notre Fée Bâtisseuse..

.La Rochelle et ses Filles

m'ont adoptée il y bien longtemps......

Saintonge vallonnée , boisée ,

secrète aux parfum d'autrefois

que d'histoires à raconter.....

Bisous doux parfumés d'embrums

à toutes les Filles des bords de mer

et..les autres évidemment ,

aux Vagabonds des mers

et autres Corsaires****

Jeannel'Océane

Avec L'Embellie

JE VIENS....

   Je viens  ,je suis de ce  Pays  de vent
Et de Terres profondes
Comme l'Océan  Où la vie abonde
J'y ai vécu Le meilleur de mon âge .
   Pays de sources vives  De vignes et de blés
     De jardins, de plages   Et de vieux moulins
            Où aux ailes du vent  On moud le grain .
        Pays de bosquets  Où chante la grive.
                 Pour quelques secondes   Donnes moi la main
          Pour danser la Ronde .
            Puis,
                 Dans l'odeur des pommes  Au cœur du verger
Viens faire un somme !

                        

Elle est si belle que je n'y résiste pas.....

Jeanne toujours la même

que dites vous du fond musical? moi...j'aime!!!!!

Biseocéane

23 août 2009

L'Etranger..5

« Et s’il était là quand même…. on sait jamais » chuchote Méleine…

-« Qui sait…va donc savoir… y’a tant de chose qu’on ne sait pas et qui existent….ça me surprendrait pas… » répond Silvère !

Méleine sert le café , beurre le pain soigneusement ; Silvère tourne la petite cuillère dans le bol posé devant lui , en boit une gorgée pensif...

Ils se regardent tendrement , assis l’un en face de l’autre , Silvère pose une main sur celles de Méleine , ils ont l’air de deux toutereaux…

-« Je vais allé voir si quelqu’un l’a vu », dit Silvère .

-« Ah ! oui , et que diras tu ? tu te souviens comment il est ? »

-« Pour sûr que je sais comment il est….de taille moyenne , solide , brun aux yeux marron , recuit par le soleil…et son rire ah ! oui »

-« Mais non Silvère…il grand , blond avec des mèches presque blanches par le soleil , les yeux clairs ; tu as raison quand tu dis qu’il est bronzé pour ça , sûr il l’est , il est tanné comme les coureurs de chemins.

Moi c’est son sourire , tu as vu son sourire ? j’en ai jamais vu de pareil »….Eberlués ils prennent conscience qu’ils ne se souviennent pas ne voient pas Toussaint de la même façon… Mais au fait comment est il vraiment ? Qui a tort , qui a raison ? ils n’en savent…Rien !

Ils en sont là lorsque Nadal les rejoint tout excité :

-« Méméleine , Papidou cette nuit j’allais au « p’tit coin » et j’ai vu Toussaint…y partait sans faire de bruit et il était tout brillant de lumière et y’avait pas d’lampe allumée . J’l’ai appelé , il a pas répondu alors j’ai couru derrière lui pour le rattraper , je le touchais presque je l’appelait « Toussaint , Toussaint où tu vas ? reviens….»

Il a disparu j’sais pas où…j’suis allé dans le jardin , j’ai regardé partout même dans la rue…y avait personne…même pas de bruit de pas…mais du côté d’la mer y’avait une grande lumière que la nuit a avalée…comme ça « vlpp ». Alors j’suis allé vous voir , j’vous ai appelé mais qu’est ce que vous dormiez fort…en vous donnant la main !

J’ai retourné dans ma chambre , et …sur mon lit y’avait la Coquille de Toussaint , regardez comme elle belle , pas comme avant regardez , j’suis sûr c’est un cadeau ? C’est lui qui l’a faite comme ça » !

Dans la main de Nadal la Coquille brille  comme une opaline !

Dans le pays , ils ont entendu parler de ce Passant pour les uns , ce Pèlerin pour les autres…ce Vagabond pour certains , que personne ne décrit de la même façon , il y en a qui ne l’ont pas Vu du tout….

Mais tous ceux qui ne dormait pas cette nuit là , tous sans exception ont Vus la grande lumière avalée par la nuit !« Ce sont des histoires…. Ça s’peut pas…Bah !y’en a qui boivent trop » disent les mêmes quand ils rencontrent les autres qui tiennent les mêmes propos à certains qui n’y comprennent rien….

Méleine Silvère et Nadal leur petit fils savent ce qu’ils savent mais n’en soufflent mots à personne et gardent

Le Secret du Passant….Le Pèlerin de Saint-Jacques !

…. De temps en temps la mélopée de Toussaint

Frissonne autour et dans la maison  !

… « Souviens toi , la rue était déserte…

Pourtant il était là subitement… »

************

t-

L'étranger
E. Calabria - B. Massey / E. Calabria - B. Massey - E. Marnay
 

Il est arrivé à l'heure où le soleil rougit les blés
Marchant derrière un mur d'alouettes éparpillées
Portant sa veste au bras, le front ruisselant d'été
Soulevant la poussière d'un chemin brûlé
Moi, Dieu me pardonne, je n'ai vu que lui
Et je lui ai donner à boire l'eau du puit

Il a goûté l'eau tiède, son visage tout près du mien
J'ai voulu dire, quel est ton nom l'étranger
Je l'ai vu rire, puis il m'a embrassée
Le ciel s'est ouvert comme une fleur
Le vent s'est levé dedans mon cœur
Et le jour lui-même a changé de couleur
J'ai confondu le jour avec la nuit
Je me suis endormie auprès de lui
De lui...

Où peut-t-il être en ce moment
Aux creux d'un lit de blés, j'étais seule en m'éveillant
Je sais qu'après avoir changé cent fois d'horizon
Il reprendra le chemin de ma maison
Un beau jour à l'heure où le soleil rougit
Il viendra boire l'eau du puit

Au plaisir de nous retrouver pour de nouveaux textes coulant de la même source

Jeanne la Chanteplume

LE CASTEL d'AZALIE

 

22 août 2009

L'Etranger...4

-« J'ai mis des serviettes et des gants dans la salle d'eau » l'informe celle-ci ; ils s'attardent encore un peu dans la nuit tiède , puis se séparent après un /« Bonne nuit dormez bien » -«Vous aussi , merci » ! Méleine et Silvère sont émerveillés par les voyages de leur invité , eux qui ne sont jamais allés si loin...Ils s'endorment en se donnant la main un sourire aux coins des lèvres !

La nuit tisse ses fils de soie , les grillons chantent ,les lucioles et les vers luisant allument leurs lanternes dans les arbres prés des nids , dans les parterres fleuris où les Belles de Nuit ouvrent leurs corolles....

Il fera beau demain.....la maison et ses habitants dorment !

Au chant du coq Silvère et Méleine se lèvent , ils se promettent l'un et l'autre de dorloter Toussaint ce grand gars au regard tendre . Le parfum du café , celui du pain grillé se répandent dans la maison ouverte sur la glycine ; les raies du soleil dansent sur le carrelage ; ils ne font pas de bruit pour ne pas réveiller Nadal et Toussaint . Après un long moment , Méleine frappe doucement à la porte de la chambre de celui-ci...une fois...deux fois , puis à la troisième se hasarde à entrer....elle appelle d'une voix chavirée :

-« Silvère viens , viens vite », il se précipite , la rejoint....

La chambre est vide...le lit n'est pas défait mais garde l'empreinte du corps de celui qui s'y est allongé . Le « sac-barda », la guitare ne sont plus là , la fenêtre est ouverte... les rideaux frémissent dans l'air frais du matin . Dans la salle d'eau les serviettes et les gants attendent toujours d'être utilisés soigneusement posés là où Méleine les a mis la veille !

...Ils ne sont pas surpris , c'est comme s'ils l'avaient su dés l'instant qu'il eu franchi le seuil de la maison ; il est parti de la même façon qu'il est arrivé...sans bruit ! Dans la chambre flotte une odeur de vent et de soleil , le chant ténu ,  imperceptible d'une flûte leur parvient par bribes ...

http://i81.servimg.com/u/f81/13/11/42/01/th/babies10.gif

à suivre....

18 août 2009

L'Etranger..3

GUITARE avec Joanna Kozielska

Elle s’active à faire le repas du soir , alors que Silvère  fait faire le tour du propriétaire à Toussaint , passant du jardin au verger où Nadal joue au ballon  , le jeune homme se joint à lui et s’ensuit une folle partie dont Silvère est l’arbitre .
Essoufflés , rieurs ils répondent à Méleine qui les appelle pour le dîner .
Le repas se déroule dans une complicité chaleureuse faite de jeux de mots , des histoires retraçant les voyages de Toussaint , ses rencontres , les nuits passées à la belle étoile , dans les monastères ou chez l’habitant comme ce soir ; pour finir le jeune homme prend sa guitare et continue la comptine « Y’a une pie » que le petit reprend avec entrain .
 Puis à mi voix Toussaint chante une étrange mélopée soutenue en sourdine par la guitare...

Alors toute la douceur du monde vient s'asseoir à la même table qu'eux ! La voix du jeune homme se fait murmure dominée par les notes cristallines de l'instrument pour à nouveau s'élever et s'envoler....Ainsi ils voyagent sur les arpèges....Nadal s'est endormi , avec des gestes doux...des gestes de père , Toussaint l'emporte dans ses bras pour le coucher .

Dans la chambre visitée par un rayon de lune , il caresse les cheveux couleur de mûre de l'enfant , du bout des doigts effleure les tempes fragiles où le sang palpite , l'embrasse légèrement sur le front , remonte les couvertures , s'attarde à le contempler , et sur la pointe des pieds gagne la porte qu'il referme après un dernier regard sur Nadal endormi. Ses yeux brillent de larmes retenues . Rien ne se voit de son émotion quand il rejoint Méleine et Silvère au jardin !

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